Pourquoi faire une business school ?

Le monde du travail est en constante évolution. Les transformations technologiques et la prise en compte de nos impacts sur notre environnement incitent les entreprises à travailler autrement et donc à rechercher de nouvelles compétences chez leurs collaborateurs.

Dans un tel contexte, les leaders de demain doivent être de plus en plus polyvalents, acquérir de nouvelles compétences afin de répondre aux nouveaux défis de l’économie d’aujourd’hui. Intégrer une business school, permet de profiter d’un cursus aux multiples bénéfices pour mettre en place une vision du futur complète et internationale, répondant aux défis de demain.

Une offre qui s’est largement développée

Les business schools offrent d’innombrables perspectives professionnelles, dans le secteur privé, dans les banques, dans les cabinets de conseil, dans l’administration, etc.

Intégrer une business school, c’est avant tout faire le choix de l’expertise académique. Pour cela, il est essentiel de vérifier les classements publiés par la presse. Bonne nouvelle, plus besoin de traverser l’Atlantique pour trouver des écoles au top du classement : la France, la Suisse, l’Espagne, l’Italie, les Pays-Bas, le Danemark, le Portugal proposent des Bachelor en Business Administration (BBA) ou des Master en Management, en anglais, qui figurent parmi le top 50 du Financial Times (https://rankings.ft.com/rankings/2961/masters-in-management-2024).

Acquérir de l’expérience pour construire son futur

S’inscrire dans une business school permet aussi de trouver un emploi plus rapidement. La formation exigeante dispensée par ces établissements, la dimension pratique de l’enseignement reposant sur des études de cas ou les stages, permettent de valoriser son CV même à la sortie des études. En effet, de nombreuses business school intègrent des stages en entreprise qui permettent de mettre en avant une solide première expérience professionnelle. Ils acquièrent très tôt les codes du monde du travail, savent ce qu’un employeur potentiel attend d’eux. Cela participe aussi au développement de son réseau professionnel, un atout de taille pour lancer sa carrière. 

Faire un stage durant ses études offre la possibilité de consolider ses capacités et de mettre en pratique son apprentissage. Les stagiaires acquièrent un large éventail de compétences, notamment dans les domaines de la technique, de la communication, de la résolution de problèmes et du travail d’équipe. Ces compétences sont essentielles à la réussite professionnelle et sont souvent difficiles à développer pleinement dans une salle de classe. Enfin, les stages permettent aux individus de tester différentes fonctions dans leur domaine, ce qui les aide à déterminer le bon choix de carrière et à éviter les regrets.

Une ouverture à l’international

Programmes d’échange ou alliances avec des écoles étrangères, faire une business school vous ouvre les portes de nombreux pays et c’est tout un réseau d’alumni précieuxque l’on intègre. Dans ce type d’établissement, la mobilité étudiante est fortement encouragée, voire obligatoire. Bien souvent, la dimension interculturelle de la formation débute dans l’établissement. Membres de programmes internationaux, la business school envoie des étudiants à l’étranger, mais en reçoit aussi des centaines. Les moments d’échange comme de découvertes sont permanents. Cette atmosphère encourage les échanges, mais aussi l’ouverture sur le monde. Quel que soit le pays, la plupart des business school offrent aujourd’hui des cursus 100% en anglais afin d’attirer des étudiants du monde entier. Les jeunes diplômés acquièrent ainsi une aisance essentielle pour développer leur carrière à l’étranger.

Le classement et les grandes universités

Selon le classement du Financial Times 2024, l’université de St-Gall passe devant HEC Paris ! Les processus d’admissions au niveau du Bachelor sont aussi bien plus simple sur St-Gall, que Paris pour lequel il faut faire une prépa. Un test d’admission sera cependant requis pour les étudiants non-suisses. Une option intéressante pour des élèves ambitieux et travailleurs. En effet, même si le taux d’échec en première année à St-Gall peut démotiver certains élèves, cette sélection assure aux bacheliers de sortir avec une qualification très valorisé par les Master en Management.

EDHEC arrive maintenant en 4ème position et offre pour les étudiants internationaux (hors Baccalauréat Français) un processus d’admission dédié sans concours. L’ESCP reste toujours en tête de liste, en 6ème position et offre à tous les étudiants une voie d’admission en direct, sans prépa, sans concours. Sur le modèle anglais, il faut un personal statement, un CV et si possible une lettre de recommandation. Si le dossier est retenu, le candidat sera convié à un entretien.

Bocconi reste bien évidemment une destination phare et se place en 11ème position. Pour la rentrée 2025/2026, Bocconi a complètement revu son processus d’admission. Il repose maintenant uniquement sur le test d’admission (SAT ou Bocconi test) et le GPA (moyenne des notes).

ESADE et IE restent également des destinations très prisées par les étudiants et sont respectivement en 18ème et 21ème position. Le processus d’admission de IE est plutôt conséquent avec l’obligation de fournir un dossier bien complet (essay, CV, lettres de recommandation, …), le IE test (ou SAT), un entretien virtuel (KIRA) et un entretien final ; si on est retenu. ESADE est un peu plus simple avec uniquement des questions de motivations auxquelles il faut répondre et le ESADE test (ou SAT).

Si les classements sont une référence intéressante, ce n’est pas non plus la panacée ! Des universités comme HEC Lausanne, Warwick, Imperial restent excellentes même si le classement ne les favorise pas. Il faut donc parfois chercher au-delà pour trouver la meilleure université adaptée à chaque étudiant. C’est dans ce contexte que la plus-value et l’expertise d’EDUCOM prend tout son sens, pour aider l’étudiant à définir la bonne stratégie pour maximiser ses chances d’admission.

Et si on sort des grands noms, voici certaines universités qui méritent d’être considérées : LUISS à Rome, Forward College un nouveau concept amenant les étudiants dans 3 villes d’Europe sur 3 ans (et accrédité par King’s College et LSE), IESEG à Paris ou Lille, Ecole Hôtelière de Lausanne ou encore les universités néerlandaises (voir notre article du mois d’octobre).

L’importance de votre dossier pour postuler

Ces programmes restent néanmoins très compétitifs et un solide dossier académique sera exigé. Il faudra aussi savoir démontrer sa motivation, son intérêt pour l’actualité et son ouverture internationale (expérience à l’étranger, avoir fait des stages ou des summer camps à l’étranger, parler plusieurs langues…). La diversité et l’ouverture culturelle étant fortement valorisée par ces programmes.

Autant d’éléments pour lesquels EDUCOM peut vous coacher ! En amont de vos études, dans un premier temps, en vous proposant des cours pré-universitaires, des programmes d’immersion dans un carrière ou tout simplement des voyages humanitaires pour forger votre esprit. Puis, dans un second temps pour monter votre dossier, afin de maximiser vos chances d’entrer dans la Business School qui vous convient !